Une mini-interview à l’occasion de la sortie :
Attention ! les questions suivantes sont des spoiler.
Mais d’où vient cette idée bizarre de don de moelle ?
HLA : c’est le nom du laboratoire d’histocompatibilité d’un CHU que je visitais quand l’idée de l’histoire a surgit. Lors de cette visite, j’ai découvert combien il est difficile de dénicher un donneur compatible pour les patients qui ont besoin d’une greffe de moelle osseuse. Souvent, on le trouve au sein de sa famille biologique. Ces deux mots en ont entrainé d’autres : un don, un abandon, une adoption. Les fils de l’histoire se tenaient là, sous mon nez ! Je n’avais plus qu’à les démêler… grâce à Adélie, une héroïne très douée pour les intrigues !
Le don de moelle ? Aïe, ça doit faire mal !
Un peu oui, mais pas trop. Et le jeu en vaut la chandelle : une vie sauvée quand même ! Pour s’inscrire sur la liste des donneurs, une prise de sang suffit. Si on déménage, on prévient le laboratoire. Ce n’est que si un patient a besoin d’une greffe et que notre moelle est compatible avec la sienne que l’on est sollicité. Tout est bien expliqué sur le site de l’agence de la biomédecine et sur celui de l’association Laurette Fugain.